Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (49) : Olga Et Les Routiers (1 : La Cerise Sur Le Gâteau).

Ces vacances 2014 furent, pour Philippe et moi, celles de nos retrouvailles candaulistes. Sans les s, loin de chez nous, nous avions donné libre cours à mon hypersexualité et, lui, à son candaulisme.

Toutes les bonnes choses ayant une fin, nous savions que notre retour signifiait, pour une période de plusieurs semaines au moins, une nécessaire sagesse. Nous étions conscients qu’il fallait nous contraindre ainsi mais nous étions déjà nostalgiques de la période intense que nous venions de vivre.

Le voyage-retour allait nous offrir une ultime occasion de plaisir.

PHILIPPE ME PREPARE

Nous étions sur la route. J’avais choisi de porter une robe à boutons, courte, ouverte devant, et, bien entendu, rien en dessous.

Ayant passé l’essentiel de nos vacances sur une plage naturiste, mon corps était ambré.

• Philippe, mon amour, merci pour ces trois semaines. C’était exceptionnel ! Merci surtout pour la liberté que tu m’accordes et le plaisir que tu m’offres ! Tu es merveilleux !

• Je fais ça parce que je veux que tu sois heureuse, parce que je t’aime. Tu sais aussi, ma chérie combien j’aime ça ! Tu es si belle quand tu prends ton pied.

Quand il ne changeait pas les vitesses, Philippe avait sa main sur ma cuisse.

Il fait encore jour. Nous sommes sur l’autoroute.

• Chérie, déboutonne cette robe !

• Tu es fou, ceux que tu croises ou que tu doubles vont voir mes seins, ma chatte !


• C’est ce que je veux, que tu fasses bander les hommes !

• Vicieux, en attendant sois prudent avec ta main, surveille la route !


• Incline ton siège légèrement, chérie.

Philippe écarte les pans de ma robe, me caresse un peu, me chauffe, je m’écarte pour bien en profiter,

Quand on double un camion le chauffeur peut voir. Certains klaxonnent.

Je suis en situation d’exhibition parfaite.

Sans pudeur, je me caresse la chatte, déjà tout humide.

Maintenant, il fait nuit, le ciel est ultra clair.

• A poil, ma chérie, enlève tout !

Je lui obéis, je comprends qu’il veut m’offrir une ultime séance de plaisir, avant probablement plusieurs semaines de « disette ». D’ailleurs notre « pacte candauliste » est parfaitement clair sur le fait que je dois être une épouse soumise aux volontés de mon mari. Le « Principe n°7 » ne dit-il pas : « Philippe est le mari et le mâle d’Olga. Son objectif est que celle-ci puisse avoir le maximum de plaisir. Il est donc l’organisateur des plaisirs d’Olga, il dispose de son corps et veille à trouver des amants qui la satisferont ».

J’aime son regard quand il m’offre à un autre homme : un regard à la fois fier et plein de vice. J’aime qu’il me mange du regard, qu’il m’observe en train de sucer un autre homme ou que je me fasse prendre comme une vulgaire chienne. Cela m’excite de le sentir tendu par le plaisir de me voir dans des positions obscènes, gémissant comme une femelle en chaleur.

Je suis impressionnée par ses yeux fiévreux qui captent chaque frisson de mon corps, qui observent chaque mouvement de mon bassin, chaque caresse que me prodiguent ces hommes à qui il m’offre. Je le sens hypnotisé par ma jouissance, à l’affut du moindre de mes gémissements.

Philippe s’arrête sur une petite aire de repos, peu éclairée.

Je me love dans ses bras amoureusement :

• Merci mon amour de m’offrir cette dernière soirée !

• Tu sais, je suis le premier à regretter les contraintes que nous avons dû nous imposer, en tant que parents en particulier. Si je pouvais, c’est tous les jours que je trouverais des mâles pour te sauter, ma petite putain adorée. Mais avant de te trouver des mâles, je vais te chauffer un peu !

Philippe met les sièges de la voiture en position couchette. Il me caresse, ses mains parcourent ce corps qu’il connait si bien, qui est à lui, mais qu’il met bien volontiers à disposition des autres, pour mon plaisir et le sien.


Il insiste tout particulièrement, de sa langue et de ses mains, sur mes seins. Il sait bien que c’est une zone particulièrement érogène chez moi.

Philippe me suce, branle ma chatte, ouvre mon cul avec sa langue et ses doigts. J’ai compris qu’avant de me livrer à d’autres, il voulait être le premier et me gratifier de ce qu’il aime tant pratiquer et qui, sous sa langue, me fait fondre : un cunnilingus.

LE BONHEUR DU CUNNINLINGUS

Un homme qui sait faire ça et surtout qui aime le faire est une véritable bénédiction, un peu comme une femme pour la fellation. S'offrir uniquement au plaisir de l'autre, jouir de le voir sous votre contrôle, de le sentir au plus près de son intimité...

Sa langue... sa langue était délicieuse, se glissant doucement sur mon pubis, mon clito et mes lèvres intégralement douces. Il me dégusta pendant au moins 15 à 20 minutes, le temps me paraissait interminable et si exquis.

Un frisson, une montée de chaleur, une intimité plus qu'humide, un clito gonflé, des lèvres offertes, mes jambes qui reposent sur ses épaules, mes mains sur sa tête pour ressentir doublement chaque mouvement qu'il me procurait en plus de sa bouche sur ma chatte, de sa langue entre mes cuisses !

Petits coups de langue effrénés agissants comme un vibro... puis il ralentit pour passer doucement sur le bord des lèvres... glisser sa langue lentement dans mon sexe, me dévorer... et finir par me mordiller le clito et le suçoter.

Ma tête était en feu. Je sentis l'orgasme arriver, je me mis à le supplier de ne surtout pas arrêter :

• oh oui... oh ouiii mon dieu que c'est bon...

Entièrement cambrée, offrant ma chatte, c'est en tenant sa tête que j'explosais bruyamment sous sa langue.

Après un orgasme incroyable, il recommença de me lécher, de me bouffer le minou avec délectation... Mais cette fois ci, en plus, il mêla ce qui me rend totalement dingue : ses doigts.
Un... puis deux... puis trois, appuyant sur mon point G interne, et continuant le travail de sa bouche en même temps, le doux supplice était intense. Soutenu. Extrême.

Après quelques minutes à le supplier de toutes les façons de m'achever, d'arrêter, je jouissais dans un véritable cri, me mettant à frissonner, prise de spasmes puissants, les larmes coulant sur mon visage tellement la jouissance était insoutenable pour ma tête et mon corps.

Cuisses grandes ouvertes, pieds sur le tableau de bord, je tente de reprendre mes esprits.

• C’était absolument merveilleux, mon amour ! Mais dis-donc, coquin, c’est ça que tu appelles me « chauffer un peu » ? Tu veux me faire mourir ?

• Oui, mais de plaisir. Et la soirée ne fait que commencer. Tu es d’accord de sortir toute nue dehors sur un parking ?

Philippe sait bien que j’adore être le centre d’intérêt de queues dressées rien que pour moi. Je comprends ce qu’il veut. Je fais signe que oui.

Il redémarre et s’arrête peu après sur une grande aire de repos et se dirige vers le parking Poids lourds. Il stationne entre deux 38 tonnes.

OFFERTE

Philippe coupe le moteur, les lumières. Il me pousse à sortir, nue.

J’ouvre la porte, je sors entièrement nue. Il fait très chaud encore. Philippe allume ses lanternes, il m’éclaire ! Il m’exhibe, il m’offre. Nous n’allons pas tarder à mesurer les effets.

Un type petit mais imposant, large, descend du camion d’à côté. Il hésite, étonné.

• Ça va Madame ?

• Oui, bien et vous ?

Il est Portugais.

• Française ?

• Oui. Enfin, mariée à un Français.


• Tu veux baiser ?? Combien tu prends ??

• Je ne demande rien. Ça vous plairait de mieux voir?

Il s’approche.

Philippe sort de la voiture et vient derrière moi. Le type recule.

• Bonsoir. Ne t’inquiète pas. Je te présente Olga, ma femme.
Ce soir je l’offre, je la mets à disposition. Elle en veut. Elle est très cochonne, chaude, gentille et docile. On peut tout lui faire. Tu as des copains ? Va les chercher !

Le type ne se fait pas prier, frappe aux deux camions voisins. Au total, ils sont quatre. Il dégage d’eux un sentiment de virilité. Je suis à nouveau excitée. Je sens la pointe de mes seins se durcir, ma chatte s’humidifier. Je sais ce qui m’attend : je vais me faire baiser comme une putain par ces inconnus, en présence de mon mari. J’en ai particulièrement envie. Je veux profiter à fond de cette dernière soirée voulue par Philippe. Son ultime cadeau, la cerise sur le gâteau de cet été candauliste.

Philippe derrière moi, me lève les bras en arrière, mains sur la nuque, écarte mes jambes en grand.

Il caresse mes seins, branle ma chatte devant eux.

Je ferme les yeux, consentante, heureuse du plaisir que je vais connaitre, une fois de plus à cause de mon mari.

• Elle est belle, n’est-ce pas ? C’est à vous de jouer, je vous la confie ! Elle va d’abord vous montrer comme elle est excitée.

J’ai recommencé à me caresser. À ma respiration saccadée, j’ai senti que j’allais partir.

Nos amis routiers étaient fascinés par mes chants.

• Oui, je suis à vous, le temps que vous voulez et vous pouvez tout me faire

Philippe m’amène doucement au premier, me donne carrément et se recule.


L’homme palpe mes seins, suce les bouts, descend sa main sur ma chatte, la prend à pleine main, enfonce tous ses doigts, fouille… Je laisse faire.

Philippe me pousse encore un peu plus vers lui…Un deuxième homme, en short lui aussi, vient également.

Philippe m’abandonne entre les deux. Un derrière, un devant.

Ils me massent sans douceur. Leurs mains sont sur ma chatte, mon cul, mes seins. L’un m’embrasse sur la bouche, je me détourne d’abord puis je lui roule une pelle terrible, lui suce la langue…

Toutes les mains me parcourent, des doigts entre mes fesses…


Les chemises sont ouvertes, je sens le contact des peaux, des poils, ils se collent à moi.

Les deux autres regardent, viennent à leur tour, les mains parcourent mon corps. Je suis à leur merci.

Les langues lèchent, les bouches sucent mes seins. Un, à genoux, lèche ma chatte à grands coups de langue, « la dévore » prend mon clito pleine dents, me boit, aspire mon jus, c’est une sensation très forte, même si ça n’a rien à voir avec ce que je viens de connaître avec Philippe.

L’autre derrière, fourre le nez entre mes fesses, les écarte, je suis obligée de tendre mon cul.

Il enfile sa langue dans mon petit trou comme une bite, salive minutieusement.

Deux bites sont sorties des shorts. Une seule bande, bite courte, épaisse, large comme j’aime, il se glisse entre mes fesses, pousse fort de son gland dur.

Philippe se contente de mater. Il a voulu ce qui est en train de se passer et il sait que je le veux aussi.

Les deux types m’embrassent encore sur la bouche, ce mélange des langues, le contact me stimule. J’embrasse super bien. Mal rasés, ils piquent mais les bouches sont gloutonnes.

Je sais que je vais vivre un grand moment de plaisir. Je les veux, je veux les faire tous jouir.

Bien que surpris en pleine nuit, ils sont propres. Ils sentent fort l’homme…

Philippe parle au premier, à celui qui semble être le leader du groupe, Miguel. Ils se mettent d’accord...

Une queue dans chaque main, je les branle.

FELLATIONS

Philippe sort de la voiture des draps de bain.

Les quatre hommes me portent vers une pelouse toute proche.

• Mets-toi à genoux, chérie !! Tu vas les sucer. Un par un ! D’accord ?

• Oui, j’ai envie


• Tu les nettoies d’abord avec ces bouteilles d’eau

Je suis à genoux, chaque bite est à hauteur de ma bouche. Je baisse les shorts, ouvre le pantalon, baisse le slip. J’entreprends de laver chaque bite.

Mon attitude consentante les encourage.

Miguel tend la sienne, toute petite, il ne bande pas. Il prend ma tête, fourre sa bite dans ma bouche, sans ménagement, sûr de mon envie. Je l’avale facilement, elle tient toute entière dans ma bouche, je lèche ses couilles.

Je ne lâche pas, je pompe, j’aspire. Lèvres fermées, ma langue lèche la queue, par en dessous

• Salope, encore .. !.

La queue grandit, grossit…

Les autres queues sont près de mon visage, attendent leur tour.

• Suce les quatre en même temps, Olga, à tour de rôle. Fais les jouir ensemble ! Vas-y ! Chérie, montre leur comment tu aimes ça.

J’absorbe la seconde avec gourmandise, épaisse aussi, courte.

Puis l’autre, longue, plus dure, s’enfonce dans ma gorge, va et vient tout de suite. Le quatrième, un colosse, a une bite énorme, longue, grosse, il le sait, je lui suce le bout, l’aspirant.

Le zob grossit, j’ai beaucoup de mal à le prendre entier, je m’applique, par petite bouchée, j’enveloppe, enfin mes lèvres touchent son ventre. La queue énorme entière au fond de ma bouche. Je suis contente. Lui aussi.

A genoux, assise sur les fesses, jambes ultra écartées, j’offre ma chatte à leurs vues.

Je suce les bites, l’une après l’autre, sans m’arrêter, j’en ai toujours une en bouche, je frotte mes seins sur leurs cuisses. Alors commence une farandole folle, une nuit de débauche, ces hommes ont compris qu’ils pourront sans doute tout me demander...

Comme le prévoit notre Charte candauliste, Philippe est bien l’ordonnateur, le chef d’orchestre de mes plaisirs:

• Mets-toi en levrette, offre leur ton cul..! Patience, les gars, vous allez la baiser après ! Prenez tout votre temps, profitez-en bien. Ca vous plait ?

• Jamais vu une pipeuse pareille. Elle met du cœur à l’ouvrage

• Putain, elle me rend fou !

• Elle est douée, c’est meilleur qu’avec une professionnelle !

Ils tournent autour de moi, je dois les attr, gober une bite, la sucer à fond, vite. Puis, plus chienne que jamais, je rampe pour en attr une autre.

Pendant ce temps, chacun caresse ou pénètre ma chatte, y introduit les doigts, titille mon cul, malaxe mes seins.

Philippe me tape sur les fesses, pour que je fasse plus vite, qu’ils ne me laissent aucun répit! Ils sont flattés de me voir obéir... !

Depuis l’époque de Rachid, je n’avais pas connu une telle situation, être offerte à des hommes comme eux, frustres et virils, des inconnus, pour qui je ne suis qu’une salope, dont ils vont profiter à fond, avec les encouragements de mon mari.

Maître des horloges mais aussi de mon corps, Philippe avait interrompu un moment notre voyage pour m’offrir une dernière soirée inoubliable.

(A suivre)

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